Ceci est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes ou évènements réels est purement fortuite.
Chapitre 2 : L’Hésitation
Inès n’en revenait pas. Devant elle se dressait la plus grande bite qu’elle ait jamais vue. Qui aurait cru, il y a quelques heures, qu’elle allait se retrouver chez un parfait inconnu et découvrir pour la première fois le bonheur de se faire tringler par une grosse bite. Son cœur battait la chamade. Sa respiration se faisait plus saccadée. Elle détailla le monstre de plus près.
L’engin gigantesque était bien droit, il formait un angle droit parfait avec le reste du corps. Aurélien avait quelques poils pubiens mais rien de bien gênant. Cela accentuait sa virilité. Inès pouvait distinguer une large veine sur le dessus qui pompait le sang dans tout le membre. Au bout se trouvait un gros gland rougeâtre partiellement recouvert par le prépuce. Les dimensions étaient ahurissantes : la poutre était non seulement longue mais son diamètre était impressionnant.
Inès se saisit délicatement du calibre. Sa main n’arrivait pas à en faire le tour tant il était large. Inès le fit remarquer avec un air flatteur :
« Putain la vache! Elle est juste gigantesque! » s’exclama-t-elle.
Aurélien se contenta de sourire d’un air triomphant. La vue de son pénis et la sensation qu’elle ressentait quand elle le touchait excitait Inès terriblement si bien qu’elle se remit à mouiller. Elle commença à branler son partenaire tout en le complimentant, d’abord à un rythme lent puis de plus en plus vigoureusement. Elle se mit à utiliser ses deux mains et malgré tout il restait un bon bout de bite à l’air libre. Elle commença à sucer le bout du gland qui se mit à produire une lubrification naturelle. Inès adorait le goût et commença à aller plus loin avec sa bouche. Elle prenait soin de bien titiller le gros pénis avec sa langue quand il rentrait. Aurélien appréciait cette sensation et encouragea Inès à le sucer davantage en lui tenant la tête.
Après cinq minutes d’une fellation magistrale, Inès se donna comme défi de tout faire rentrer dans sa bouche. Elle suça de plus en plus loin et parvint à coller son nez contre le pubis d’Aurélien. Elle resta dans cette position quelques instants. L’énorme bite était enfouie profondément dans sa gorge et elle dut se retenir de respirer. Aurélien manifesta sa satisfaction par un grognement animal. Inès manquait d’air et se retira brusquement. Sa bouche et la bite d’Aurélien étaient pleines de salive. Elle reprit sa respiration avec difficulté.
« Ta grosse bite m’excite tellement! Prends-moi maintenant! » ordonna-t-elle en levant les yeux vers Aurélien.
Ce dernier ne se fit pas prier. Il souleva violemment Inès et la jeta sur le dos en plein sur le lit. Inès vit une lueur bestiale dans ses yeux. Sa chatte mouillait comme pas possible. Elle ouvrit ses jambes et le supplia de la baiser. Il s’allongea sur elle et commença à lui toucher les seins. Lui aussi était excité comme jamais. Il prit son énorme membre et le présenta à l’entrée du vagin. Il le frotta quelques secondes sur le clitoris, ce qui rendit Inès complètement folle. Puis, d’un coup sec, il pénétra sa chatte.
Il commença ses va-et-vient. Inès haletait comme une chienne en chaleur. Son énorme engin dilatait son vagin, elle pouvait sentir le frottement de son canon sur chaque paroi intérieure. Elle perdit très vite le contrôle de son corps. Elle se sentait faible en-dessous de ce corps musclé et cela décuplait son excitation. Elle entoura son dos musclé de ses bras et se laissa faire fourrer en criant son plaisir. Les va-et-vient se firent plus puissants. A chaque coup de boutoir un « clac » retentissait suivi d’un cri de plaisir d’Inès qui sentait que l’orgasme n’était pas loin. Les fesses musclées d’Aurélien lui permirent d’accélérer la cadence. La bite était si longue qu’elle tapait contre le col de l’utérus. Inès se faisait littéralement défoncer la chatte et elle ne pouvait plus contenir son orgasme.
Des vagues de plaisirs la frappaient alors que ses vocalises partirent dans les aigus. Elle devint comme possédée. Son orgasme fut d’une violence si inouïe qu’Aurélien dut arrêter son martèlement. Il se retira, observant Inès se tordre de plaisir alors que tous les muscles de son corps se contractaient.
« OOOOOHHHHH OOOOOOUUUUUIIIIIIIIIIIIIII!!! » gueulait Inès.
Elle se tordait, se retournait, mordait les draps tant l’orgasme la ravageait. Elle ne savait plus où elle était. Elle perdit toute notion du temps. Elle se noyait dans un océan de plaisir brut. Aurélien, un sourire moqueur en coin, la vit se débattre ainsi pendant trois bonnes minutes. Inès sortit peu à peu de sa torpeur, les yeux à moitié ouverts, dans un lit trempé de sueur. Elle mit facilement dix minutes à reprendre ses esprits. Sans un mot, Aurélien lui tendit une bouteille d’eau fraîche et vint s’allonger à côté d’elle.
« Tu m’as démonté… » souffla-t-elle au bout de quelques minutes. « J’ai jamais été baisée comme bycasino ça. C’était juste trop bon. »
« J’ai cru que t’allais mourir de plaisir. Mais n’empêche, j’ai eu du mal à tenir. T’était tellement sexy quand tu criais! » dit-il.
« T’as pas encore joui? » demanda-t-elle.
« Non, mais pas loin. Pourquoi, t’en veux encore? » répondit-il avec un air faussement menaçant.
C’est à ce moment-là qu’Inès se rendit compte que l’énorme bite était dressée comme un obélisque. Comme si elle attendait que quelqu’un s’empale dessus. L’idée ne lui paraissait pas mauvaise et elle enjamba le bel homme. Elle posa ses belles fesses bien rondes sur ses cuisses et se mit à se frotter contre lui. La sensation était très agréable et les deux se mirent à lubrifier. Puis Inès commença à frotter son clitoris contre le gros calibre dressé vers le haut. Elle se demandait si elle arriverait à prendre cette bite en entier.
Elle présenta le gland palpitant à l’entrée de son vagin et glissa lentement vers le bas. La sensation d’étirement recommença. Elle adorait le picotement de douleur que cela produisait. Elle ne put retenir ses gémissements alors qu’elle descendait, centimètre par centimètre, sur l’énorme mandrin du jeune homme. Sa respiration s’accéléra. Elle n’arriva pas jusqu’au bout de la grosse bite et entama alors des va-et-vient. Elle remontait puis se laisser empaler sur l’énorme pieu, et à chaque retombée, son plaisir était décuplé. Peu à peu, elle prenait dans sa chatte de plus en plus de centimètres jusqu’à ce qu’elle parvienne finalement à tout prendre. Elle était assise sur lui, avec sa bite fourrée jusqu’au fond de sa chatte.
Elle s’arrêta un instant, et vit Aurélien la regarder d’un air impressionné. Elle était complètement remplie et elle adorait cette sensation de plénitude. Elle commença alors à bouger ses hanches d’arrière en avant. Sa chatte se mit à dégouliner de mouille. Non seulement son vagin complètement dilaté lui procurait beaucoup de plaisir, mais en plus elle frottait son clitoris sur le bassin du bel homme. Dans cette position, le corps sportif d’Inès était parfaitement mis en avant.
Aurélien pouvait sentir ses fesses rondes lui caresser le bassin. Il admirait sa taille fine et remarqua que ses abdos se dessinaient très bien alors qu’elle ondulait sur lui. Son corps cambré mettait en avant ses seins volumineux. Il en attrapa un en se mit à le malaxer. Quelle femme magnifique. Il sentait la pression dans sa bite monter d’un cran. Il décida de reprendre les choses en main.
Il proposa de changer de position et de prendre Inès en levrette. Elle se mit à quatre pattes et il se positionna derrière elle puis introduisit son membre bien raide dans son intimité sans ménagement. Excité comme un taureau en rut, il commença à la baiser sauvagement. Chaque coup de rein se traduisait par un tremblement du corps d’Inès qui haletait et criait son plaisir. Elle adorait cette position, elle se sentait comme une chienne qui avait besoin de satisfaire ses besoins primitifs. Elle ne pensait plus à rien, elle voulait juste baiser jusqu’à satiété.
« OOOOHHHH PUTAIIIIIN!!! VAS-Y DEFONCE-MOI AVEC TA GROSSE BITE!!! »
Ces mots crus semblaient avoir un effet sur Aurélien qui redoubla d’efforts. Inès se reposait sur ses coudes pour ne pas flancher sous les coups de massue. Soudain, Aurélien se saisit de ses cheveux et les tira en arrière. La douleur provoqua chez Inès une surexcitation. Elle était au bord de l’orgasme. Encore quelques coups de ce gourdin surdimensionné et les portes du paradis allaient s’ouvrir à elle. Aurélien aussi semblait à la limite de l’orgasme, il grognait bruyamment.
L’orgasme les frappa en même temps. Tous les membres d’Inès se mirent à trembler convulsivement. Ses yeux partirent en arrière et son corps tout entier était occupé par la jouissance. Aurélien serrait les dents alors que son membre viril crachait tout ce qu’il avait retenu jusque-là. Il s’écroula sur Inès, et les deux restèrent ainsi de longues minutes, haletant. Leurs orgasmes simultanés mirent du temps à s’estomper. Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.
***
Quand Inès se réveilla, le lendemain matin, elle ne vit personne à côté d’elle. Elle devina aux bruits dans la cuisine qu’Aurélien était en train de préparer un petit-déjeuner. Elle prit une grande inspiration. Malgré la fatigue musculaire, elle se sentait bien. Sa chatte était au repos, parfaitement satisfaite. Elle ne voulait pas bouger, elle voulait rester allongé confortablement encore quelques minutes. Mais elle ne voulait pas rester trop longtemps chez cet inconnu. Après tout, se dit-elle, elle venait de le rencontrer la veille, alors qu’elle était complètement éméchée. Elle se sentait un peu coupable d’avoir cédé à la tentation dès le premier soir, même si ses parois vaginales l’en remerciaient.
Elle se leva et vit son reflet en passant devant le miroir. Elle semblait encore plus fatiguée que la veille, son maquillage avait partiellement bycasino deneme bonusu disparu pendant cette nuit torride. Cependant, elle rayonnait d’avoir expulsé toutes les tensions sexuelles qui l’avaient torturées la veille. Elle s’habilla et alla rejoindre son amant d’un soir.
Il lui proposa poliment un petit-déjeuner mais Inès déclina et dit qu’elle devait rentrer chez elle.
« Hey, pas si vite! On échange nos numéros, j’aimerais bien qu’on se revoie? » demanda Aurélien.
Inès le regarda de haut en bas. C’est vrai qu’il était beau gosse. Et qu’il baisait super bien. Mais elle avait honte de s’être laissé faire ramoner dès le premier soir, elle voulait juste quitter cet endroit. Mais quelque chose la retint un instant. Elle repensa brièvement à la partie de jambes en l’air mémorable de la veille. Elle eut un frisson. Après tout, quel mal pouvait-il y avoir à lui donner son numéro? Cela ne l’engageait à rien. Elle accepta puis sourit poliment et sortit. Aurélien, quant à lui, semblait avoir compris son trouble et les raisons de son hésitation. Il eut un sourire en coin.
« A bientôt. » murmura-t-il pour lui-même.
Inès rentra chez elle rapidement et commença par prendre une douche. Quelle nuit! Elle avait bien besoin de se rafraichir et de mettre de l’ordre dans sa tête. Elle se dit qu’elle s’était bien amusée, qu’elle avait réussi sa soirée, mais qu’il fallait passer à autre chose maintenant. Pourtant déterminée à oublier Aurélien, elle ne pouvait s’empêcher de se remémorer des flashs de la veille. Une grosse bite la pénétrant… Elle suçant un gland… Aurélien tirant ses cheveux… Deux corps musclés entremêlés… Les rêveries d’Inès se firent plus intenses. Un cri de plaisir… Un coup de boutoir violent… Un orgasme ravageur…
Sans même s’en rendre compte, elle se mit à se masturber furieusement sous la douche. Sa main frottait son clitoris frénétiquement. Les flashs de la soirée d’hier s’accélérèrent. Soudain, les contractions de plaisir s’enclenchèrent et elle se mit à jouir. Elle croisa les jambes fébrilement en gardant sa main sur son clitoris et se laissa aller au plaisir. Elle étouffa ses gémissements pour ne pas être entendue de Baptiste, son colocataire.
Elle n’en revenait pas. Malgré sa satisfaction sexuelle, la simple pensée de la soirée d’hier l’avait fait jouir rapidement. Elle s’en voulait d’avoir une fois de plus cédé à la tentation. Et pourtant, elle sortit de la salle de bain le sourire aux lèvres, contente de la plénitude qu’elle ressentait. Elle voulait tout de même savoir si Baptiste l’avait entendue. Elle s’approcha doucement de la porte de sa chambre et écouta. Elle perçut des bruits étranges, comme des gémissements de plaisir. Curieuse, Inès jeta un œil dans l’entrebâillement de la porte et se figea.
Baptiste était à son bureau. Inès pouvait voir son dos découvert. Et son écran d’ordinateur, sur lequel une blonde aux seins énormes se faisait prendre en levrette.
« Incroyable! » pensa Inès. « Il est en train de se palucher! »
On pouvait en effet distinguer son bras droit qui faisait des va-et-vient et entendre son halètement. Inès décida de s’en aller et de le laisser à son affaire.
« Il n’a même pas mis d’écouteur, cet andouille. » se dit-elle, un sourire en coin. « Il faudra quand même que je lui trouve une copine, un de ces jours. »
La suite du weekend fut plutôt normale. Inès profita du temps qu’elle avait pour récupérer le sommeil qui lui manquait cruellement. Elle joua aux jeux vidéo avec Baptiste le dimanche. Ce dernier la trouva particulièrement épanouie mais surtout un peu plus taquine que d’habitude. Il se demandait pourquoi…
***
La semaine de travail fut encore une fois chargée pour Inès, qui tentait tant bien que mal de tenir ses deadlines. Elle essayait cependant de travailler à fond le matin et l’après-midi pour gagner du temps libre le soir.
Mais très souvent elle repensait à l’énorme bite qui l’avait pourfendue l’autre soir. La simple pensée du sexe massif gonflé de sang la faisait mouiller comme une folle. Elle se masturba souvent cette semaine tant son excitation était grande.
Puis vint vendredi soir. Inès se sentait trop fatiguée pour sortir et elle dit à Charlotte et Laura de s’amuser sans elle ce soir. Elle se coucha très tôt pour récupérer mais elle ne pouvait pas trouver le sommeil. Son esprit était une fois de plus envahi par l’idée de se faire baiser sauvagement par une grosse bite. N’y tenant plus, elle ouvrit son ordinateur et se mit à regarder du porno sur Internet. Elle prit bien garde de mettre des écouteurs pour éviter d’alerter Baptiste qui regardait la télé dans le salon.
Elle commença à regarder des vidéos porno normales mais elle sentait qu’il lui fallait quelque chose de plus ce soir. Elle chercha alors des vidéos avec des hommes trimballant d’énormes membres virils. Son excitation était presque palpable. La vue des gros gourdins plongeant répétitivement dans des chattes bycasino güncel giris dégoulinantes de mouille créa un désir presque insatiable dans le ventre d’Inès. Elle enchainait les vidéos et fantasmait sur ces énormes bites qui pouvaient satisfaire n’importe quelle femme.
Soudain, alors qu’elle commençait à se déshabiller pour se toucher, son téléphone sonna. Elle regarda. C’était Aurélien. Malgré le fait qu’elle se soit juré d’en rester là, elle ne put s’empêcher de décrocher. Aurélien lui proposait de se revoir, lui disant qu’elle pouvait venir chez lui ou l’inverse si elle préférait. Inès cherchait un moyen de lui dire non. Mais le besoin charnel qu’elle ressentait était trop fort.
« Ok. Je te texte mon adresse. Viens vite. » lui dit-elle. Cette dernière phrase trahissait son excitation et Aurélien le comprit immédiatement.
« J’arrive tout de suite, ma belle! » dit Aurélien avec un sourire avant de raccrocher.
Inès hésita un dernier instant, puis lui envoya son adresse. Elle attendit une vingtaine de minutes, tourmentée par ce qu’elle venait de faire. Elle qui prenait d’habitude son temps avec les hommes, elle ne pouvait que dire oui quand Aurélien lui proposait une partie de jambes en l’air.
Inès se rappela que Baptiste était là et qu’il fallait le prévenir de la venue imminente d’Aurélien. Elle sortit de sa chambre et alla le rejoindre. Elle ne savait pas trop comment s’y prendre.
« Hey, Baptiste! J’ai besoin de te dire quelque… » commença-t-elle et soudain on sonna à la porte.
« Qui ça peut être à une heure pareille? T’as appelé une de tes copines? » interrogea Baptiste, l’air suspicieux.
« Heu…c’est ce que je voulais te dire…j’ai un copain qui arrive. » répondit Inès gênée, tout en se dirigeant vers la porte. Elle ouvrit et découvrit le grand Aurélien, toujours aussi imposant et beau gosse.
Inès le fit entrer et le présenta à Baptiste. Il se serrèrent la main poliment mais Baptiste restait un peu en retrait. Ce dernier se demandait si c’était le nouveau copain d’Inès ou “juste un ami”. Assez embarrassés, les trois firent la conversation pendant 5 minutes, qui semblaient une heure pour Inès qui avait du mal à cacher son excitation. Puis Inès et Aurélien s’isolèrent dans la chambre.
« Joli chambre. » dit Aurélien.
« Enlève ton manteau, je t’en prie. » répondit Inès avec une voix douce.
Ils s’assirent sur le lit, gênés.
« Tu ne m’avais pas prévenu que tu avais un coloc’! » fit remarquer Aurélien. « Il a l’air sympa. »
Inès s’en voulait d’avoir oublié ce détail très important : Baptiste habitait avec elle et pouvait entendre des bruits bien que la cloison soit suffisamment insonorisée. Consciente du malaise, elle décida de prendre les choses en main.
« Faisons comme s’il n’était pas là. On s’en fout… » dit-elle avec une voix sensuelle. Elle jouait de toute sa féminité. Elle se rapprocha d’Aurélien, mit sa main sur sa nuque et l’embrassa fougueusement. Celui-ci lui rendit son baiser, d’abord timidement puis plus intensément. La gêne avait laissé place à la passion.
Ils s’enlacèrent et se déshabillèrent l’un l’autre avec ferveur. Ils étaient tous les deux plus excités l’un que l’autre. Ils avaient envie de l’autre. Ils haletaient. Ils prirent à peine le temps de faire des préliminaires. Inès découvrit à nouveau la bite monumentale du bel homme. Elle se mit soudain à transpirer abondamment. La simple vue de ce mât triomphal lui donnait chaud. Elle se sentait faible sous ce corps musclé et elle adorait ça. Il mit un préservatif en vitesse et commença à la pistonner dans la position du missionnaire. Le plaisir se mit à envahir la chatte d’Inès.
Elle aurait tout donné pour rester dans cette chaleur ardente, dans cet état d’effervescence incontrôlable. Elle criait son plaisir alors qu’il serrait les dents en la pilonnant. Entre deux halètements, Inès glissait des mots excitants dans l’oreille de son amant :
« Oh oui, continue… J’aime sentir tes fesses musclées bouger au-dessus de moi… OH OUI… Encore… Vas-y plus fort… OH…OOOH… J’aime sentir ta grosse bite dans ma chatte… Putain qu’est-ce que t’es bien membré! Baise-moi… OH OUI… Touche mes gros seins… Mordille-les… BAISE-MOI PLUS FORT… ENCORE… JE VAIS JOUIR… OOOOUUUUIIII… JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIS!!! »
Inès était complètement possédée par son orgasme. Elle ne savait plus où elle était, ni même qui elle était. Elle relâcha d’un coup toute la pression de la semaine. Sa chatte se contractait convulsivement. Tout son corps tremblait et elle continua à jouir pendant plusieurs minutes.
Après ces moments de plaisir incroyable, elle reprit conscience de son environnement. Aurélien était allongé à côté d’elle, plus viril que jamais. Ils se regardèrent droit dans les yeux et se mirent à rire aux éclats. Ils se sentaient heureux.
« On a fait un beau bordel, ton coloc’ nous a sûrement entendu. » dit Aurélien en rigolant. Puis il ajouta d’une voix sincère « Qu’est-ce que tu es belle! Et une diablesse au lit en plus de ça… »
Inès sourit. Jamais elle ne s’était senti aussi attachée sexuellement à une personne.
« On n’a pas fini de faire du bruit, crois-moi! » s’écria-t-elle en jetant un regard plein d’avidité à la bite toujours érigée du bel homme.
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