Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.
Dans sa version originale, cette histoire était illustrée, Malheureusement Sadkins116 vient de supprimer sa page sur Literotica. Ayant pu récupérer les illustrations, je les insérerai au texte lors de la publication sur mon blog.
Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.
Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.
************
Jessie et Marcus essaient de dormir, mais c’est difficile avec le boulet et la chaîne attachés à leur plug. Ils s’endorment mais se réveillent avec un choc électrique à chaque fois qu’ils bougent. Les boulets sont lourds et glissants, ils pèsent près de dix kilos. Ils sont en acier inoxydable et polis avec un mince revêtement qui les rend glissant. Quand les esclaves essaient de porter les boulets ils glissent et Jessie et Marcus reçoivent des décharges électriques. L’enseignante réussit finalement à trouver un moyen pour empêcher son boulet de bouger. Elle a vraiment besoin de dormir, car la journée a été épuisante et demain sera pire.
Lorsque Brenda entre dans la chambre à six heures du matin le lendemain, les deux esclaves ne bougent pas et ne se réveillent pas. Ils sont dos à dos avec les boulets coincés entre eux deux. Prudemment, Brenda dégage les deux boules des corps endormis et les éloigne. Elle sort de la pièce et revient quelques instants après avec une bobine de corde. Elle s’approche des boulets et attache une extrémité de la corde aux deux chaînes des boules. Puis elle déroule la corde et se dirige vers la fenêtre qu’elle ouvre. Derrière il y a une grosse jardinière. Brenda pense qu’elle pèse au moins vingt-cinq kilos. Elle attache l’autre extrémité de la corde à cette jardinière. Et sadiquement, elle la fait tomber.
Brenda recule et observe pendant une seconde la corde se dérouler avant de tirer sur les boulets. Soudain les deux esclaves se réveillent en criant de douleur. Les boulets attachés à leur plug sont tirés vers la fenêtre.
Jessie et Marcus hurlent alors que la douleur explose dans leur cul. Ils essaient tous les deux de bouger pour arrêter cette douleur, mais chaque fois qu’ils s’approchent des boulets, la jardinière tire dessus et les éloigne. Jusqu’au moment où les boulets atteignent le mur. La jardinière n’est pas assez lourde pour les tirer par la fenêtre , mais ça n’a pas d’importance.
Brenda rit et crie :
– Réveillez-vous esclave, c’est un nouveau jour et il est temps de se lever. Maintenant, à quatre pattes et ramenez la jardinière. Oh, bien sûr, pas avec vos mains, utilisez seulement votre cul pour tirer.
Les deux esclaves obéissent. Ils rampent sur le sol. Faire glisser les boulets ne fait qu’augmenter la douleur causée par les chocs électriques. Plus ils tirent, plus ils ont mal. Finalement, la jardinière se retrouve au bord de la fenêtre. Brenda la remet à sa place. Jessie et Marcus s’effondrent sur le sol alors que leurs corps tentent de se remettre de ce réveil brutal.
Brenda aime torturer son ex-mari et sa salope de nouvelle femme. Elle rit en passant la porte et dit :
– Il est temps de te lever esclave, il faut aller à l’université.
Jessie réussit à détacher le boulet de la jardinière et elle se dirige vers la salle de bain. Ce n’est pas facile, mais elle réussit à prendre une douche et à faire pipi. Elle a aussi besoin de faire la grosse commission, mais à moins que sa Maîtresse ne déconnecte le plug avec la télécommande, elle doit attendre.
Après s’être séchée et s’être coiffée, Jessie descend les escaliers à quatre pattes en priant que Brenda enlève le boulet et la chaîne.
Jessie rampe jusqu’à sa Maîtresse et demande à lui parler. Brenda hoche la tête et l’enseignante demande rapidement :
– S’il vous plaît Maîtresse, pouvez-vous retirer le boulet pour que je puisse m’habiller?
Brenda sourit et s’agenouille derrière la femme et enlève la chaîne du plug. Jessie pousse un soupir de soulagement et remercie sa Maîtresse. Elle peut marcher plus facilement maintenant et elle remonte les escaliers pour s’habiller. Son corps est encore très douloureux. Ses mamelons et son clitoris sont en feu, et les zébrures de la punition de la veille lui font encore mal. Jessie choisit un haut très ample et une jupe courte. Sa chatte et ses seins sont trop douloureux pour porter des sous-vêtements. Elle se demande comment ses étudiants vont la traiter aujourd’hui et si elle peut négocier avec eux pour qu’ils ne disent rien. Jessie veut désespérément garder son travail, c’est la seule chose qui l’empêche de devenir folle.
Après être arrivé à l’université, Jessie entre dans sa classe et s’assoit à son bureau. Le plug est toujours enfoui dans son cul, Mais Jessie doit s’asseoir malgré la douleur. Elle est inquiète de la façon dont vont se dérouler ses cours aujourd’hui. Si elle n’arrive pas à négocier avec ses élèves, Konyaaltı travesti elle pourrait être renvoyée avant la fin de la journée.
Elle sursaute quand la cloche sonne pour indiquer aux étudiants de rejoindre leur classe. Elle se tient nerveusement à côté de son bureau tandis que les élèves remplissent la pièce. Lorsque la cloche sonne le début des cours, Jessie se dirige vers la porte et la ferme. Elle revient en face des étudiants et commence à parler.
– Ce qui s’est passé hier n’était pas censé se produire. Les choses sont devenues incontrôlables et je ne peux pas…
Elle est interrompue par Susan :
– Tais-toi esclave! Nous sommes aux commandes! Et tu feras ce qu’on te dit! Est-ce que nous nous comprenons?
Jessie grimace en entendant la jeune fille, mais elle sait qu’elle n’a pas d’autres choix.
– Oui je comprends, mais s’il vous plaît, ça ne doit pas quitter cette pièce. Si je suis renvoyée ou si je vais en prison vous perdrez votre esclave. Supplie Jessie.
– Bon, eh bien tant que tu obéiras, nous garderons ce secret. Mais voyons si tu obéis. A poil! Ordonne Susan.
Jessie grimace, mais tend la main et tire son haut par-dessus sa tête avant de le donner à la jeune fille. Elle se retrouve seins nus et le froid de la pièce fait durcir ses mamelons. Elle regarde ses élèves et ne voit que des regards lubriques posés sur elle. Elle soupire et baisse sa jupe le long de ses jambes. Elle est complètement nue dans sa salle de cours.
Susan regarde sa professeure nue et nerveuse. Elle sourit. Elle se demande jusqu’où elle peut pousser cette esclave. Ce que Susan ne sait pas, c’est que Jessie est déjà bien entraînée et que son conditionnement est si bien ancré en elle qu’elle fera tout ce qu’une personne dominante lui ordonnera de faire.
– Merde, il y a des changements depuis hier! Regardez les piercings sur ses seins! Crie le garçon s’appelant Jamal.
– Hé regardez! Elle s’est même faite percer son clitoris et il y a une cloche attachée. Dit Tom.
Jessie grince des dents en entendant les commentaires. Son corps rougit d’humiliation.
– Je me demande si elle mouille? Tom, pourquoi tu ne vérifierais pas? Demande Susan.
Elle sourit alors que Tom tombe presque la tête sur le sol en voulant jouer avec la chatte de Mme GRABAS. Pendant ce temps, Jamal est debout près de la professeure et joue avec les piercings sur les tétons. Jessie grimace, les mamelons encore douloureux.
Susan montre le sol du doigt et ordonne :
– Mets-toi à quatre pattes! C’est là ta place.
– S’il vous plaît, soyez gentils. Je n’ai mes piercings que depuis hier et je ne peux pas être baisée. Et le plug dans mon cul ne peut pas être enlevé sans télécommande. Supplie Jessie
– Bon, mais comment allons-nous nous amuser? Tu n’as pas le droit de baiser, mais je suppose que nous pouvons jouer avec ton gros cul.
Susan regarde froidement Jessie. Elle veut que la classe entière s’amuse avec elle. Elle déteste Mme GRABAS pour l’avoir faite expulser de l’équipe de cheerleader plus tôt cette année. Se venger est la pensée la plus importante pour le moment.
– Donc tu dis qu’on ne peut pas enlever le plug sans une télécommande? Je veux voir ça, penche-toi sur le bureau salope!
Susan attrape le bras de sa professeure et la tourne face au bureau. Jessie gémit, en sachant ce qui va se passer quand ils essaieront d’enlever le plug. Susan pousse Jessie vers le bas et glisse sa main dans son dos. Elle demande à Jamal d’écarter les jambes de l’enseignante, pour pouvoir bien voir l’objet enfoncé profondément dans son cul.
Jamal rit alors que Susan commence à saisir le plug anal pour tirer dessus.
– S’il vous plaît, ne tirez pas dessus, il va se dilater et m’envoyer des chocs électriques. S’il vous plaît, je vous en supplie ne faites pas ça!
Le visage de Susan montre sa surprise. Mme GRABAS est une salope esclave et maintenant elle est aussi son esclave.
– Eh bien, qui ne voudrait pas voir un tel spectacle? Je dois essayer.
Susan tire fortement sur le plug. Jessie pousse un long gémissement alors que ses jambes se plient aux genoux.
Toute la classe recule et se tait. Personne ne s’attendait à ce qu’ils ont vu. Susan repousse rapidement le plug en place et recule. Elle regarde Jessie lutter pour retrouver son calme. Ces quelques secondes donnent à Susan le temps de comprendre comment elle peut humilier sa professeure.
Jessie s’appuie sur le bureau en essayant de rester debout. Les chocs électriques étaient de plus en plus violents au fur et à mesure que Susan retirait le plug. Elle l’avait presque sorti et maintenant le bassin de Jessie la piquait. C’est comme si on lui enfonçait des milliers d’épingles sous la peau. Elle se tourne pour faire face à son étudiante et elle se fige en voyant tout le monde la bouche ouverte. Jessie ne comprend pas jusqu’à ce que Susan lui demande de se mettre à genoux. Elle baisse les yeux et réalise qu’elle a uriné Une petite flaque de pisse se trouve entre ses jambes. Susan sourit et dit :
– A quatre pattes et laisse tout le monde voir leur nouvelle professeure esclave. Maintenant, dis-moi ce que tu n’es Konyaaltıi travestileri pas autorisé à faire.
– Je ne suis pas autorisé à baiser ou sucer des bites à cause des piercings. Et je ne peux pas retirer le plug comme vous l’avez remarqué. On m’a également ordonné de dire à quiconque voulant m’utiliser qu’il ne devait pas me faire de marques supplémentaires. On a prévu quelque chose de spécial pour moi bientôt et je ne dois pas avoir de marques.
– Qui dit que nous devons faire comme tu le dis esclave? Que se passera-t-il si nous n’obéissons pas à ces règles? Demande Susan.
– il y a quelques semaines j’aurais pensé la même chose. Mais mon Maître dit que tant que vous respectez les règles, vous aurez de nombreuses occasions de jouer avec moi. Par contre si vous ne les respectez pas, vous pourriez vous retrouver à genoux à côté de moi. Dit Jessie en regardant Susan.
A ce moment Jessie réalise que ce qu’elle dit est vrai. Elle ne doute plus des capacités de Maître X et Maître Kévin. Elle regarde fixement droit dans les yeux de Susan et voit un bref instant de peur, ou était-ce de l’excitation? Jessie ne peut en être certaine. Toutefois elle sait qu’elle informera son Maître d’une cible potentielle.
La classe entière est silencieuse, tout le monde suit l’échange entre Susan et Mme GRABAS nue. Susan est la première à réagir.
– De toute façon, j’imagine beaucoup de choses que nous pouvons faire pour nous amuser. Tom, attrape sa tasse de café et amène-la ici. Toi salope rampe jusque ici!
Jessie obéit et rampe jusqu’à l’endroit que Susan pointe du doigt. Susan s’approche d’elle après avoir saisi la tasse. Elle baisse les yeux sur l’enseignante et lui dit :
– Salope, mets cette tasse entre tes seins. Comme tu ne peux pas sucer des bites, il n’y a rien qui t’empêche de branler les gars. Je veux que tu branles tous ceux qui se présenteront devant toi. Tu dois récupérer son sperme dans ta tasse. Oh, tu devras lécher tout ce qui tombe à côté. Tu ne dois pas faire de fellations mais rien ne t’empêche d’avaler du foutre.
Toute la classe se met à discuter alors que les douze garçons se mettent en ligne. Jessie est choquée, Mais ne peut que regarder. « Mon Dieu, je suis tombé bien bas. Je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Je… Je… Je suis une esclave… » pense Jessie alors qu’elle attrape la première bite qui se présente devant elle.
Il ne faut pas longtemps avant que le premier garçon éjacule. Mais même s’il gicle rapidement, il le fait abondamment. Il lui faut trois jets de sperme avant que Jessie n’arrive à diriger sa bite vers la tasse. Elle gémit en se disant que ça ne va pas être facile.
Jessie branle bite après bite. Quand elle est presque à la fin, elle a pris le coup et ne rate plus la tasse. Sur les trois derniers gars, elle n’a raté qu’une seule giclée. Juste au moment où le dernier étudiant éjacule, il recule soudainement en tirant le bras de Jessie. La tasse bien gluante glisse des seins de l’enseignante et tombe sur le sol. La classe se met alors à crier :
– LECHE! LECHE! LECHE!
C’est à ce moment que Susan reprend les choses en main.
– Silence, calmez-vous, nous ne voulons pas que quelqu’un de l’extérieur interrompt notre fête. Dit-elle sur un ton de commandement à ses camarades de classe.
– Tu les as entendus esclave. A quatre pattes et nettoie tout ça. Je veux te voir tout avaler.
Susan regarde Jessie se pencher et commencer à lécher la tasse.
– Pas avec les mains salope, mets les derrière ton dos!
Jessie hoche la tête, met ses mains dans son dos et se penche pour nettoyer le sol avec sa langue. Elle ferme les yeux et essaie de se dire qu’elle est ailleurs. Mais Susan la surveille attentivement.
– Ouvre les yeux esclave! Je veux que tu regardes tes élèves en léchant le sperme des garçons.
Jessie est au-delà de l’humiliation, mais le pire c’est qu’elle est tellement excitée qu’elle est sur le point de jouir. Elle sait que c’est en partie à cause des effets secondaires des médicaments qui lui sont administrés, mais ce n’est pas que ça. Au fond d’elle-même elle veut ça. Elle sait qu’elle peut être découverte à chaque moment. Elle peut être renvoyée ou jetée en prison et sa photo faire les unes de tous les journaux. Mais quand cette pensée lui traverse l’esprit, elle déclenche un orgasme massif. Son jus coule le long de ses jambes, son cul se resserre sur le plug, tandis que ses muscles se contractent. Jessie n’entend pas, mais la classe entière pousse un cri d’étonnement alors que leur professeure laisse sa tête tomber dans la flaque de sperme pendant que con corps tremble de plaisir.
Il faut bien dix minutes avant que Jessie reprenne le contrôle de son corps et finisse de lécher la flaque de sperme. Puis elle lève les yeux vers Susan et elle attend. La jeune fille sourit et dit :
– Esclave, tu as joui sans permission. J’ai bien peur de devoir te punir. A genoux, bras levés, les paumes de tes mains vers le haut.
Jessie se met en position et essaie de parler :
– S’il vous plaît Maîtresse, pas de marques…
– Pas de soucis salope. Je vais seulement fouetter tes mains et Travesti konyaaltı tes pieds. Personne ne le saura sauf toi! Dit Joyeusement Susan.
La jeune fille fait tomber une règle droite sur les paumes levées de l’enseignante qui gémit , mais dit :
– Un, merci Maîtresse. Puis-je en avoir un autre?
Susan glousse, elle ne s’attendait pas à entendre ça. Elle frappe de nouveau rapidement plusieurs fois avec Jessie qui compte à chaque fois. Quand Susan atteint les vingt coups, les mains de sa professeure sont rouges et gonflées. Susan lui dit alors de se retourner et de lever les pieds. Jessie pleure, mais n’hésite pas et obéit. Susan arrache les hauts talons et fait tomber la règle sur le pied droit.
Susan continue de fouetter les pieds de Jessie jusqu’à ce que ses bras lui fassent mal et qu’elle n’ait plus de force. Finalement elle baisse les yeux sur l’enseignante soumise et lui ordonne de remettre ses talons et d’aller au coin, les mains derrière la tête.
– Tu es une vilaine professeure. Tu es une salope et une esclave. Maintenant attends comme ça jusqu’à la fin du cours.
Jessie a du mal à se lever, ses pieds sont douloureux et enflés par les coups et les talons n’arrangent pas les choses. Lorsque la cloche sonne la fin du cours, Susan lui crie de l’autre côté de la pièce :
– Passez une bonne journée Mme GRABAS, je sais qu’elle n’est pas finie.
Jessie peut l’entendre rire alors qu’elle sort de la classe. L’enseignante court de l’autre côté de la pièce en cherchant désespérément ses vêtements. Le prochain cours doit commencer dans une minute. Hier, ce cours s’était bien passé, mais si les élèves arrivent et qu’elle est encore nue, elle sait qu’elle va devoir encore subir.
Heureusement ses vêtements sont rassemblés sur le dossier d’une chaise. Jessie les enfile rapidement juste avant que le premier étudiant franchisse la porte. Jessie essaie d’avoir l’air normal, mais son corps tremble toujours. Elle se dirige vers son bureau et attrape quelques mouchoirs pour se nettoyer le visage. Elle n’a pas le temps d’aller aux toilettes pour se laver un minimum.
Jessie est surprise que le reste de la journée se passe bien. Elle a bien dû répondre quelques fois à des questions très personnelles, et une classe l’a faite enseigner complètement nue. Mais dans l’ensemble, elle s’en tire pas trop mal. A la fin de la journée de cours, Jessie se dit que c’était une bonne journée.
Lorsqu’elle arrive à la maison, elle se déshabille et laisse ses vêtements près de la porte. Puis elle tombe à genoux et rampe jusque dans le salon. Elle y voit Maîtresse Brenda et Janice. La première est assise sur le canapé et la deuxième a le visage enfoui dans sa chatte. Jessie s’arrête et attend des instructions.
– Je suis contente que tu sois là. Nous avons des choses à faire avec vous deux. J’ai mis deux tenues sur le lit. Vous les prenez et vous devez toutes les deux vous rendre au magasin en bas de la rue près de l’université. Chacune de vous achètera une boite de préservatifs et vous reviendrez ici. Je vous expliquerai ensuite ce que vous allez faire. Allez vous habiller! Commande Brenda.
Janice se lève et Jessie la suit alors qu’elle se dirige vers la chambre à coucher pour s’habiller. La robe de Jessie est noire et moulante, elle couvre à peine son cul. Son décolleté dégagé s’étend presque jusqu’au bas de sa poitrine et la robe a des fentes de chaque côté et au bas du dos. Ses mamelons sont visibles entre les fentes. Et les rayures de fouet sur son corps sont facilement visibles.
La robe de Janice, si on peut l’appeler ainsi, n’est rien de plus qu’un morceau de tissu de couleur crème avec un gros losange découpé au milieu. Janice la glisse par-dessus sa tête et essaie de couvrir son corps. Les pointes du losange se prolongent sur le devant jusqu’en dessous de son nombril à l’avant et jusqu’à son cul à l’arrière. Les côtés sont maintenus ensemble avec seulement un seul bouton de chaque côté. Tout mouvement brusque et son corps sera exposé à la vue. Avec des hauts talons, elles finissent leur look de salope.
Les deux esclaves se dirigent vers la voiture de Jessie et reculent dans l’allée. Toutes les deux sont plongées dans leurs pensées. Jessie est déjà conditionnée et elle ne craint pas cette tâche. Ce n’est rien, être prostituée et baiser homme après homme est bien pire. De plus, la plupart de ses étudiants savent déjà qu’elle est une esclave.
Janice, quant à elle, est nouvelle dans l’esclavage. Elle a commencé il y a un jour environ, et jusqu’à présent, la plupart des choses qu’elle a été obligée de faire se sont passés en privé. Et maintenant elle doit aller dans un magasin près de l’université. Elle est morte de peur. De plus elle connaît bien ce magasin, elle y va presque tous les jours. Elle connaît la plupart des personnes qui y travaillent. Ils ont presque tous été des étudiants de l’université. La robe qu’elle porte la fait se sentir plus nue que si elle ne portait rien. De plus elle est avec sa rivale de toujours. Et toutes les deux ressemblent à des putes. Pour aggraver les choses, elles doivent acheter une boite de préservatifs. Une larme coule sur sa joue. Elle regarde Jessie et se sent soudain un peu désolée pour elle. Elle ne savait pas ce qui lui arrivait quand elle l’avait surprise à l’université en train de montrer ses seins. Janice souhaite presque de ne pas avoir profité de la situation. Si elle l’avait ignoré, elle se serait pas à côté d’elle sur le point de ruiner sa propre vie.
Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32