Presque cinq mois… et l’avenir!
« Je suis un peu inquiet, c’est la première fois qu’Hortense n’est pas la première descendue » annonce Olivier à sa copine.
Il est vrai que depuis qu’ils sont confinés tous ensemble, il y a plus de quatre mois, sa sœur est dans la cuisine avant tout le monde Elle descend vers sept heures, prépare le café, met le pain, le beurre et les confitures à table, pose la boite de céréale avec le sucre à côté d’un bol pour son frère puis ensuite prend son petit noir. Ce matin, Olivier s’est levé comme d’habitude vers neuve heure et a demandé à sa sœur si elle allait bien. Comme elle lui a dit qu’elle est un peu fatiguée et qu’elle descendra plus tard, il s’est habillé puis a quitté la chambre. Quand Emma est arrivée un peu plus tard, elle s’est étonnée de ne pas trouver Hortense mais rassure Olivier :
« ne soit pas soucieux mon biquet, après la soirée d’hier c’est presque normal. Elle a beaucoup d’informations et d’émotions à traiter. » lui répond-elle.
Comme ils ne sont que deux, les filles ne sont pas encore descendues, elle lui explique ce qui à son avis doit se passer dans la tête d’Hortense.
« Je l’ai poussé dans ces retranchements, l’ai obligé à faire choses qu’elle ne se serait pas cru capable de faire, l’ai forcé à obéir et enfin je l’ai corrigé. Beaucoup de personnes seraient mal après ça, tu n’es pas d’accord »
« Oui tu as raison »
« En plus, elle cogite car malgré la honte elle a aimé cette soirée.
« Oui je comprends »
« A mon avis, le mieux est de lui laisser le temps… je pense qu’elle descendra en fin de matinée, encore secouée, peu sure de l’attitude à tenir et soucieuse de nos regards, mais je suis certaine que tout ira bien. »
Olivier est rassuré. Ils prennent donc leur petit déjeuner en discutant de tout et de rien puis quittent la cuisine.
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Dans son lit, Hortense a les yeux totalement ouverts. Elle est réveillée depuis cinq heures ce matin, le cerveau en ébullition. Elle ne regrette pas du tout la soirée d’hier, seulement maintenant ces fantasmes sont mis à jour, connus. Les assumer est un autre pas à franchir. Il y a une grande différence à les vivre en catimini dans l’intimité de l’appart de son frère et affronter tout le groupe avec un collier significatif à son cou. Evidemment ils sont en vase clos et comme lui a dit Emma c’est l’endroit idéal pour expérimenter cette situation sachant qu’elle ne sera pas jugée. Il faut voir cette période comme une expérimentation. Cependant ce qui inquiète le plus Hortense est l’incertitude quant à son état d’esprit à la fin du confinement. Elle a envie de vivre cette expérience, se prouver qu’elle est capable de dépasser la honte et l’humiliation, prendre autant de plaisir et même plus. Or elle redoute d’un autre côté de ne plus pouvoir s’en passer et repousser encore les limites. Par contre le plug toujours en elle lui rappelle combien elle a eu mal quand Emma l’a inséré mais aussi l’impossibilité de refuser que celle-ci force cet intru entre ses fesses. En effet, le seul fait de penser à Emma, son intransigeance à la faire obéir, son inflexibilité à la punir, sa promesse de l’éduquer, la convaincu de tenter l’expérience. Elle est encore excitée.
En fin de matinée elle décide de descendre. Elle choisit son Pantalon Bouffant à taille haute. Elle l’avait acheté dans sa boutique préférée, près de chez elle, à Bordeaux car ce vêtement décontracté épouse ses fesses sans pour cela les coller. Elle recherche de l’aisance pour ne pas révéler l’intrus qui se cache entre ses fesses. Elle enfile ensuite le pull coll roulé en mohair. Sa douceur lui plait énormément mais cacher son collier est déterminant pour le choix. Elle n’assume pas encore complétement ce bijou.
Elle descend les escaliers, peu sur de ce qu’il va se passer, mais fière de braver les interdits.
Apres le diner, Emma invite Hortense dans le salon. Assise sur le canapé, fébrile, Hortense écoute Emma. Celle-ci commence par des paroles douces et rassurantes.
« Ça te va très bien ta tenue, tu es belle avec le collier » lui dit-elle en lui caressant le haut du coup. « J’ai l’impression que tu rayonnes. J’adore te voir aussi resplendissante » ajoute-t-elle.
Hortense n’analyse pas toutes les sensations qui parcourent son corps, de petits frissons, quelques picotements aux bas de ses reins or elle est surprise et heureuse des attentions d’Emma. Sa main qui la caresse avec tant de douceur, sa voix chaude qui la rassure, lui murmure qu’elle est belle et cette impression de force, d’assurance la fait craquer. Elle est comme une petite fille avec sa maman, en sécurité.
« Je suis persuadée qu’Oliv te l’a dit » ajoute Emma
« Je voulais te voir, tout d’abord pour que tu saches que je comprends qu’il te fallait réfléchir… c’est normal » assure Emma
« Donc comme tu es là, cela veut dire que tu as pris ta décision… Aussi comme je te l’ai annoncé hier, il y a des petites choses à préciser afin que cette fin de confinement soit une Bostancı travesti forme de retraite, un espace particulier ou tu apprends tout de toi » explique-t-elle.
« Par contre, à partir de maintenant, je serais en quelque sorte ton guide, ton initiatrice et prendrait toutes les mesures nécessaires afin que tu puisses profiter au maximum de cette période. » précise-t-elle.
Hortense est tout ouïe, les deux mains jointes reposant sur ses cuisses s’entremêlent nerveusement. De son coté, Emma se redresse et débite les nouvelles consignes :
« Je te veux toujours belle et apprêtée, les cheveux attachés en tresse, ongles vernis et un soupçon de maquillage. Enfin tu oublies les sous-vêtements, pendant un mois, pour le repas du soir tu porteras le plug et dernière chose, j’attends de toi que tu sois gaie et agréable comme tu nous as habitué. Je te veux en Bordelaise chic au port altier mais sans arrogance. » Hortense rougit.
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Apres trois jours, le repas du soir pris, Emma demande à Hortense de la suivre à l’établi. Autour d’un café pour Hortense et d’un thé pour Emma, celle-ci lui demande comment s’est passé les journées, les nuit. Elle l’incite à se confier sur ses impressions, les moments difficiles, ses frustrations et ses désirs. Elle évoque aussi le plug, s’informe de sa perception. « Tu connais ton frère, il veut avant tout ton plaisir » lui explique-t-elle. « Tout mec est fasciné par la sodomie… Non seulement cette pratique est taboue, source de plaisir aussi car l’homme est continuellement serré, mais en plus, cela lui donne le sentiment de domination. » ajoute-t-elle « aussi si tu apprécies autant la sodomie que je le devine, pour tout ce que je viens de t’énoncer et si de surcroit tu veux profiter plus rapidement des effets sur ton corps il est obligatoire que ton ptit cul soit assoupli… avec la grosseur d’Oliv c’est nécessaire… Ne t’inquiète pas je vais bien m’occuper de toi et lorsque je serais certaine que tu seras prête, je te le dirais et vous pourrez vous amuser. » ajoute-t-elle.
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Au même endroit, le lendemain, Emma lui demande de se déshabiller. Elle tourne autour d’Hortense, ses paroles sont douces, chaleureuses. Elle lui dit qu’elle la trouve de plus en plus belle et lorsque la brune est nue, Emma se rapproche d’elle, se colle dans son dos et pose délicatement son menton sur son épaule en même temps qu’elle l’enserre de ses bras.
« Tu as la peau douce » lui souffle-t-elle à l’oreille. « Ton ventre est moelleux » lui dit-elle suave alors qu’elle caresse le ventre. « Ton ventre est parfait pour accueillir les bébés… oh oui ils se sentiraient si bien! » ajoute-t-elle.
Un léger frisson envahit Hortense. Elle est surprise que la grande lui parle de bébé mais l’idée d’un enfant avec son frère l’a effleuré. Pour elle c’est un moyen de concrétiser leur amour. Et maintenant elle imagine cette petite chose grandissant dans son ventre, elle est émue, cela pourrait être une réalité.
Evidemment Emma est experte pour toucher les cordes sensibles. Comme toujours elle alterne inflexibilité et rudesse avec douceur et délicatesse. Elle est certes pressée de la confondre dans toutes sortes de situation perverses, de la rendre accro à sa personne et bien sûr de la punir régulièrement mais cela n’a de sens que si Hortense développe un amour indéfectible et pérenne. Vivre avec elle en permanence n’est pas dans ses projets, mais savoir qu’à tout moment elle peut la soumettre à ses désirs, penser qu’Hortense a une vie sociale comme tout le monde et qu’en privé elle soit sa soumise dépravée, l’excite au-delà de toute normalité.
Elle pose des cailloux comme le petit poucet afin qu’après confinement la sœur soit encore sous son influence. Pouvoir régir sa vie et au-delà sa sexualité avec Olivier, lui procure une satisfaction indescriptible. Aussi elle doit s’assurer de connaitre tous les ressorts de sa personnalité et lui donner du plaisir, énormément de plaisirs, des orgasmes effarants qu’elle ne trouverait pas ailleurs. Elle doit encrer dans son corps et son esprit la reconnaissance, l’obéissance, la soumission qui lui procurent plaisir et plénitude. Le summum serait d’ailleurs lui dicter son attitude avec son frère, sans qu’il ne s’en doute évidemment.
Ce soir la tendresse prévaut.
« Imagine-toi avec ton ventre arrondi, tes seins devenus de belles outres, tes tétines gonflées attendant la tétée » énonce Emma en caressant langoureusement le ventre d’une main et de l’autre soupesant les seins, étirant doucement les mamelons durcis.
“Uummmmm…” Un soupir essoufflé s’échappe de ses lèvres. Hortense plane.
« Tu crois que tu es prête à l’accueillir » lui susurre la grande en glissant sa main au-dessus du nombril puis sur l’aine et enfin sur l’intérieur de la cuisse qu’elle empaume et écarte.
“Unnmmh…,” La température corporelle de la brune grimpe, elle souffle les yeux fermés.
« Met ta main… allez ma belle vérifie que tu Bostancı travestileri es bien mouillée pour accueillir le gros sexe de ton frère…. Oui c’est ça touche toi pour qu’il rentre facilement » lui dit Emma en mordillant son oreille.
« Mmmmm… aaaaah » murmure Hortense, retenant son souffle et se mordant la lèvre inférieure
« Comme cela oui… écarte tes cuisses pour qu’Oliv te remplisse complétement…… Oui… tu le sens glisser?» insiste la blonde
La sœur est en transe et ne s’est pas rendue compte que la grande la pousse devant la porte. Celle-ci est vitrée sur toute la hauteur aussi avec la lumière crue dans la pièce, une personne dans la cour peut voir en détail Hortense. Et c’est ce que veut Emma, créer une situation d’exhibition. Elle sème les graines d’une exposition somme toute assez soft au début mais lorsque les germes prendront racines, aucune barrière ne sera assez forte pour qu’Hortense se défile.
« Allez ouvre-toi… plonge tes doigts… montre-moi comme tu es heureuse!… Ton petit frère est prêt à te féconder »
« Oooooh Aaaaaaaaaah » s’exclama-t-elle avec un plaisir montant
« Oui encore… plus vite… Fais ça pour moi… » continue Emma en léchant le haut du cou jusqu’aux oreilles.
« Aaaaaaaaaah… Uuummmmm » Hortense est en feu. Les muscles de son abdomen et de ses cuisses se contractent ardemment alors qu’elle pousse sa vulve trempée contre sa main.
« Écarte tes lèvres avec ton autre main » lui commande Emma
« Ahah…huuhhh! » Hortense halète involontairement lorsqu’elle sépare encore plus les lèvres de sa chatte gonflée, provoquant une nouvelle inspiration rapide et un fourmillement entre ses jambes.
« Oui super… » félicite Emma. Puis se détachant d’Hortense, elle se positionne à côté d’elle et voyant que l’issue est imminente lui dit : « ouvre les yeux et regarde par la porte… imagine plusieurs personnes t’observant. »
« Aaaaaaaaaaaah » Fouillant un peu plus profondément dans sa fente brulante.
« Fais toi jouir pour moi » lui ordonne d’un ton sec Emma.
« Uuuuuuunnnnggghhh…ooooh… ooooh…aaaaaaaaaaaaaah » hurle Hortense. Son corps réagit à la force de l’orgasme qui la dévore, devenant rouge et humide de sueur, tandis que son visage se tord de plaisir.
Emma fond sur elle, la maintenant pour ne pas qu’elle s’effondre sous la puissance de l’orgasme. Un bras dans son dos elle attrape de l’autre main le menton et dirige ses yeux vers elle.
« Ça t’a plu petite salope…. Je veux t’entendre me le dire » demande t’elle sèchement.
« Mmm… oouuuiiii…hummm… » Les gémissements profonds de la sœur se réduisent enfin à de doux gémissements alors que son corps se détend.
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Une heure plus tard, douchée, vêtue de son pyjama sexy, Hortense est dans son lit. Elle a pris un roman qu’elle essaye de lire, mais la concentration n’est pas là. La soirée dans l’établi occupe son esprit, elle est encore honteuse. Elle n’en veut pas du tout à Emma, loin s’en faut. Depuis quelque temps elle doit reconnaitre qu’elle apprécie la compagnie de la grande, enfin plus exactement, en étant honnête, elle a plus que des sentiments pour Emma. Cependant, reconnaitre que l’exhibitionnisme l’excite, avouer tacitement qu’elle ne s’opposerait pas à s’exposer devant un publique est assez dérangeant. ” comment va le prendre Olivier ” Or elle se remémore l’orgasme que cette situation a engendré, elle est encore humide à ce souvenir, honteuse mais excitée.
Et puis de fil en aiguille elle revoit la grande lui parler de bébé. Elle n’a jamais évoqué le sujet avec Olivier mais, elle y a souvent pensé avec envie. Aussi quand Emma lui a suggéré qu’elle avait la possibilité d’être maman, qu”Olivier pourrait remplir son ventre, une pique de plaisir est montée directement à son cerveau.
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Régulièrement les deux filles se voient le soir dans la dépendance. Hortense attend ces moments avec impatience. Elle se plie à toutes les demandes d’Emma avec honte souvent, peur quelque fois, mais toujours avec envie. D’ailleurs, la grande est plutôt prévenante et surtout elle la fait jouir de plus en plus fort. Même dans ses rêves elle n’avait imaginé que cela puisse exister.
Au début elle se sentait frustrée qu’Emma n’ai d’attention que pour ses fesses cependant elle y prend un plaisir croissant.
De soir en soir les séances de sodomie sont de plus en plus longues et surtout, Emma fait en sorte qu’Hortense jouisse de nombreuses fois. Calculatrice, elle la lubrifie consciencieusement et prend beaucoup de temps pour assouplir l’étoile brune puis, en guise de préliminaire elle l’habitue à des cessions de fessées avec une planchette et cravache. Elle n’est pas sauvage, ses frappes sur les fesses sont de plus en plus fortes au fur et à mesure certes, cependant Emma s’évertue à ne pas la marquer. Elle conditionne son corps à réclamer la souffrance comme l’allier du plaisir, la douleur comme préliminaires aux Travesti bostancı orgasmes.
Si elle veut la conduire vers de nouveaux sentiers, elle doit au préalable s’assurer d’une certaine accoutumance, une dépendance qui annihile toutes barrières. Et puis il y a un fantasme qui la taraude toujours.
Parallèlement Emma s’entretien régulièrement avec son copain Oliv, ne lui révélant pas tout, mais lui expliquant le soutient qu’elle prodigue à sœur pour l’aider à assumer ses fantasmes.
« Ta sœur est encore peu confiante et il semble qu’avec moi elle se livre plus facilement… Le cap passé tu devrais en profiter, soit patient mon biquet. » lui dit Emma.
Olivier fait totalement confiance à sa copine. De plus, imaginant Hortense entre les mains de sa copine, il se surprend à imaginer toute sorte de scénario plus pervers les uns que les autres. Il sait qu’Emma à une imagination fertile et, au vu des dernières soirées, il est persuadé qu’elle la contraindra à devenir plus docile, la forcera à obéir et cela l’excite. De surcroit il constate qu’Hortense ne le néglige pas pour autant, elle est de nuit en nuit toujours plus câline et le surprend même. Tous les matins elle le réveille avec une fellation dantesque.
Machiavélique, Emma est étonnamment patiente pour arriver à son objectif. Elle réalise d’ailleurs que sa méthode fonctionne car maintenant au bout de trois semaines, Hortense est plus libérée avec le sexe anal, mouille abondamment avec la cravache, se confie avec moults détails et très important, elle suit ses suggestions quant aux relations intimes avec Olivier. Tout doucement, ses rapports sexuels avec son frère sont orientés, préconisés, dirigés. A la grande joie d’Emma, la brune est heureuse de lui confier des détails intimes. Elle devient sa confidente.
Hortense est mure pour un pas de plus
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Et justement ce soir Emma a de nouvelles idées. Elle désire qu’Hortense deviennent encore plus docile, malléable, décomplexée et libertine.
Seule avec la Bordelaise dans leur retraite, elles écoutent de la musique tout en échangeant des nouvelles de leur travail, des projets d’Hortense et bien sûr évoquent son installation dans l’appartement d’Olivier. Emma s’inquiète de la taille de leur logis, lui demande s’ils ont des projets pour un plus grand appartement, et insidieusement elle oriente la discussion sur l’ancienne conquête d’olivier, ses amis en médecine et les fêtes qu’ils pourraient faire.
« Tu sais que les carabins bossent beaucoup mais lorsqu’ils décompressent, ils sont infernaux »
«!!!!???? »
« Tu n’as jamais entendu parler des soirées étudiantes »
« Pas vraiment… »
« Ça vaut le détour, tu peux me croire… et dans ces soirées les filles se retrouvent souvent dans la plus simple tenue et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles n’ont pas froid aux yeux… C’est chaud! »
« Tu veux dire quoi par… »
« J’ai une idée » coupe Emma doucement. Et puis elle change de ton et sèchement lui intime de se lever.
« Déshabille-toi » ordonne-t-elle.
Il faut quelques secondes pour que les paroles d’Emma arrivent à son cerveau car Hortense est pensive.
« Tu ne veux pas que je me répète… Dépêche-toi… Ensuite sur le podium! »
Lorsque l’ordre revient, plus ferme, la brune se déleste de ses vêtements en les jetant sur le fauteuil, et sans récriminations, se positionne à quatre pattes sur la couverture.
« Tu peux mieux faire » râle la grande.
Immédiatement la Bordelaise pose sa tête entre ses bras, écarte les jambes et pousse ses fesses vers le haut.
Emma a une photo des lèvres scintillantes et du joli bijou au-dessus, « Qu’elle-est belle cette salope » pense-t-elle. Elle s’émerveille toujours de la facilité avec laquelle elle arrive à la diriger. Elle présume qu’Hortense ne pourra plus se contenter de sa vie antérieure ayant connu les étoiles, cependant, comme une progression trop rapide peut donner le vertige, avancer par palier permet de sécuriser l’ascension.
Emma s’assoit à côté d’elle, lui retire le plug, enduit généreusement de graisse à traire l’anus puis, avec prévenance, patience et détermination elle tourne, tourne encore à l’intérieur du sphincter, pour dilater, assouplir les parois, les muscles internes et externe. Hortense souffre au début d’inconfort pour in fine miauler sur le massage qui ne cesse de durer.
Enfin, satisfaite de la préparation, Emma se lève pour prendre et fixer son nouveau dildo. il est de taille et de diamètre plus gros que celui auquel elle a habituée Hortense. Il est comparable aux mesures du phallus de son frère avec une différence cependant, une hampe beaucoup plus ample à la base. Emma fixe la dernière boucle de sa sangle en place, enduit copieusement le pieu veiné sur toute sa longueur puis remonte sur le podium et se positionne entre les jambes de la brune.
Emma laisse ses doigts se glisser vers le cul d’Hortense. Elle attrape et écarte la joue moelleuse jusqu’à ce qu’elle puisse voir la petite étoile brune alors qu’Hortense écarte un peu plus ses jambes, Emma note que l’entrejambe de celle-ci est trempé. Souriante elle appuie doucement contre le sphincter de la grande mais comme le gland n’entre pas, elle appuie encore quelques fois le bout mafflu, pousse et pousse encore.
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